Le Parti conservateur allemand est un parti politique de l'Empire allemand fondé en 1876 et qui disparaît à la fin de la Première Guerre mondiale. Le parti conservateur libre s'allia avec une autre partie de la droite du parti national-libéral pour former le Parti populaire allemand (DVP, parti du peuple allemand) [29]. Les conservateurs s'oppose à tout processus de centralisation, car ils craignent de perdre leur position dominante acquise grâce à leur domination en Prusse. Il décide de la ligne politique du parti et organise les campagnes électorales[4]. L'apparition de la Fédération des agriculteurs en 1893 en réaction à la crise agricole a une grande influence sur le parti. Parti chrétien-national des paysans et des fermiers (CNBL), Paysans du Schleswig-Holstein et travailleurs ruraux démocrates (SHBLD), Parti du Reich pour les droits civils et la déflation (RVA), Parti communiste d'Allemagne - opposition, Association générale des travailleurs allemands, Parti social-démocrate indépendant d'Allemagne, Parti national-socialiste des travailleurs allemands, Parti du Reich des classes moyennes allemandes, Ancien parti politique conservateur en Europe. Il décide de la ligne politique du parti et organise les campagnes électorales[4]. Le parti conservateur allemand CDU a élu vendredi une fidèle d’Angela Merkel à sa tête, Annegret Kramp-Karrenbauer. Vérifiez les traductions 'Parti populaire conservateur' en Allemand. Stoecker est un orateur exceptionnel, il permet au parti d'étendre son électorat dans l'ouest du pays[1]. Le journal du parti est le Neue Preußische Zeitung, plus couramment appelé Kreuzzeitung, littéralement le journal à la croix. Associé aux conservateurs libres, ils dominent ce parlement[12]. Le conservatisme prussien émerge au début du XVIIIe siècle et entre dans la modernité avec les thèses de Friedrich Julius Stahl qui accepte la monarchie constitutionnelle et avec elle l'existence d'un parlement. Armin Laschet a été élu président du parti conservateur allemand CDU ce samedi 16 janvier. Nouveau!! Même s'il représente une forte importante du Reichstag, c'est surtout de sa très forte représentation à la chambre des représentants de Prusse que le parti tire son pouvoir. Cette tendance se renforce en 1893 avec la création de la Fédération des agriculteurs, une puissante fédération avec qui l… En outre, le rapporteur, qui est membre du parti conservateur, doit convaincre ses propres rangs de soutenir ses propositions à la Chambre des Communes. Membres du groupe parlementaire des conservateurs allemand (de gauche à droite) : Rudolph Wichmann, Partis politiques de l'Allemagne avant 1933, Droit d'auteur : les textes des articles sont disponibles sous, Le contenu de cet article n'est qu'une copie de l'. Il persiste toutefois à s'opposer à toute réforme libérale dans les domaines de la finance, l'économie et de la politique intérieure. Associé aux conservateurs libres, ils dominent ce parlement[12]. Auteurs de l'article « Parti conservateur allemand » : « conglomérat d'hommes politiques reconnus indépendants », , « Vom Honoratioren- zum Berufspolitiker - Die konservativen Parteien (1867-1918) », , « Auf Stimmenfang mit Vorurteil – Antisemitismus im Wahlkampf ». Le conservatisme prussien émerge au début du XVIIIe siècle et entre dans la modernité avec les thèses de Friedrich Julius Stahl qui accepte la monarchie constitutionnelle et avec elle l'existence d'un parlement. https://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_populaire_national_allemand En pourcentage les conservateurs connaissent une érosion de leur score à partir des années 1890. En 1872 et 1873, il y a déjà un groupe parlementaire conservateur à la chambre des représentants de Prusse[1]. La facción conservadora dentro del gobierno se molestó mucho por estos desarrollos, que ellos vieron como una persecución del bon. Parti composé principalement de Junker , il est partisan de la monarchie et s'oppose au parlementarisme. Le parti conservateur du gouvernement fut très irrité par ces développements, qu'ils interprétaient comme une persécution du Bön. Le journal du parti est Die Post, qui sert aussi de journal officiel pour le gouvernement de Bismarck. Principalement implanté en Prusse et en particulier dans ses provinces de l'est, c'est un parti très rural. Les conservateurs acceptent le système politique mais tentent d'y préserver la primauté de la monarchie et la domination de la noblesse. Il persiste toutefois à s'opposer à toute réforme libérale dans les domaines de la finance, l'économie et de la politique intérieure. Les artisans de cette fondation sont Wilhelm von Rauchhaupt, Friedrich Wilhelm von Limburg-Styrum et Otto von Heldorff-Bedra. Les membres du parti conservateur prussien, qu'on désigne à partir de ce moment comme les « vieux conservateurs[2] » restent intransigeants, et traditionalistes[3] et refusent de suivre la voie « révolutionnaire » empruntée par le chancelier impérial. Par la suite, à partir de 1877, un rapprochement politique a lieu, en particulier en matière douanière. Ils continuent à soutenir la politique militaire et navale, tout en se montrant quelque peu réticent à la politique coloniale bien qu'ils la soutiennent. En 1902 ce comité passe à 12 sièges. Au sein du parlement prussien il s'oppose à la construction du Mittellandkanal, le long canal devant relier l'Elbe au Rhin, mais leur opposition est vaine[10]. Le parti est plus que jamais le parti de la ruralité. La fédération est fondamentalement anti-gouvernement, très bien structurée et centralisée. Le parti publie également dans le Reichsbote, la Konservative Monatsschrift et le Deutsche Adelsblatt[13]. : Stoecker est un orateur exceptionnel, il permet au parti d'étendre son électorat dans l'ouest du pays[1]. Les conservateurs acceptent le système politique mais tentent d'y préserver la primauté de la monarchie et la domination de la noblesse. Les conservateurs s'oppose à tout processus de centralisation, car ils craignent de perdre leur position dominante acquise grâce à leur domination en Prusse. Leur objectif est de faire contrepoids aux libéraux dans la vie politique allemande. Dans la chambre des seigneurs de Prusse sa position dominante est encore plus marquée. Le parti est présidé par Helldorf jusqu'en 1890. La population croît fortement à cette période, mais moins dans les terres à l'est de l'Elbe qu'à l'ouest, ce qui désavantage les conservateurs. Il reconnaît la constitution de l'Empire et milite pour la préservation de la monarchie, le renforcement de la religion, contre le centralisme et le parlementarisme, ainsi que la social-démocratie. Même s'il représente une forte importante du Reichstag, c'est surtout de sa très forte représentation à la chambre des représentants de Prusse que le parti tire son pouvoir. La dernière modification de cette page a été faite le 7 avril 2021 à 09:45. Parti communiste d'Allemagne - opposition, Association générale des travailleurs allemands, Parti social-démocrate indépendant d'Allemagne, Parti chrétien-national des paysans et des fermiers, Paysans du Schleswig-Holstein et travailleurs ruraux démocrates, Parti du Reich pour les droits civils et la déflation, Parti national-socialiste des travailleurs allemands, Parti du Reich des classes moyennes allemandes, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Parti_conservateur_allemand&oldid=181648634, Ancien parti politique conservateur en Europe, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Ils se tiennent également à distance du mouvement nationaliste[1]. Pour le parti du royaume de Prusse, voir, Partis politiques de l'Allemagne avant 1933, « conglomérat d'hommes politiques reconnus indépendants », , « Vom Honoratioren- zum Berufspolitiker - Die konservativen Parteien (1867-1918) », , « Auf Stimmenfang mit Vorurteil – Antisemitismus im Wahlkampf ». Ce n'est qu'à partir de 1902 qu'est crée la Hauptverein der Deutschkonservativen, association principale des conservateurs allemand, une structure supérieure au parti qui s'étend sur l'ensemble de l'Empire allemand[4]. Le Parti conservateur allemand (en allemand : Deutschkonservative Partei) est un parti politique de l'Empire allemand fondé en 1876 et qui disparaît à la fin de la Première Guerre mondiale. Il doit se défendre bec et ongle contre les tentatives de réforme du système électoral des trois classes en Prusse que tente de présenter le chancelier Theobald von Bethmann Hollweg[10]. Le programme de 1892, nommé programme de Tivoli en référence à la brasserie berlinoise dans laquelle le parti tient ses assemblées générales, influencé par Adolf Stoecker, se dresse contre la « destructrice influence des juifs[7] »[8] et contre la social-démocratie. À l'est de l'Elbe les militants du parti n'entrent en action qu'en période électorale afin de faire gagner leur candidat. Depuis le 26 août 2017, il se définit comme étant un parti « social-conservateur » [2]. Il succède au parti conservateur prussien, qu'on dénomme les « anciens conservateurs[2] », mais à la différence du premier se développe hors du royaume prussien. Ce dernier, propriétaire terrien et député, devient président du nouveau parti. Le Parti conservateur allemand (en allemand : Deutschkonservative Partei) est un parti politique de l'Empire allemand fondé en 1876 et qui disparaît à la fin de la Première Guerre mondiale. Le Parti radical allemand (en allemand : Deutsche Freisinnige Partei), abrégé en DFP, est un parti politique libéral allemand qui a existé entre 1884 et 1893. Parmi ses membres le parti compte : Wilhelm von Rauchhaupt, Otto von Manteuffel, Ernst von Heydebrand und der Lasa, Kuno Graf von Westarp, Hans Hugo von Kleist-Retzow, Philipp von Nathusius-Ludom, Elard von Oldenburg-Januschau, Hans Graf von Kanitz, Heinrich von Salisch, Georg Oertel ou Wilhelm Joachim von Hammerstein. Cette tendance se renforce en 1893 avec la création de la Fédération des agriculteurs, une puissante fédération avec qui le parti vit une sorte de symbiose. Le Bund présente ses propres candidats aux élections, mais sans grand succès[10]. Les 15 et 16 janvier, le parti conservateur allemand (CDU) élit son chef, possible candidat à la succession de la chancelière en septembre. Ils défendent particulièrement les intérêts agricoles[4],[1]. Le parti est de plus en plus isolé. Le parti est fondé le 7 juin 1876 par des membres issus de divers horizons : nobles, grands propriétaires terriens, partisans du gouvernement d'Otto von Bismarck - par exemple Moltke - protestants traditionalistes et chrétiens-sociaux. Un effet secondaire de ce rapprochement est que le parti perd de l'influence dans les villes. En 1902 ce comité passe à 12 sièges. La création de la Fédération des agriculteurs renforce la première aile[9]. En 1903, une crise a lieu entre les deux organisations à propos de la politique douanière. Il fédère le parti. Außerdem muss der Berichterstatter als Mitglied der Konservativen Partei in seiner eigenen Partei Überzeugungsarbeit leisten, um sich deren Unterstützung für seine Vorschläge im Unterhaus zu versichern. Le parti est fondé le 7 juin 1876 par des membres issus de divers horizons : nobles, grands propriétaires terriens, partisans du gouvernement d'Otto von Bismarck - par exemple Moltke - protestants traditionalistes et chrétiens-sociaux. De très nombreux exemples de phrases traduites contenant "conservateur" – Dictionnaire allemand-français et moteur de recherche de traductions allemandes. Il reconnaît la constitution de l'Empire et milite pour la préservation de la monarchie, le renforcement de la religion, contre le centralisme et le parlementarisme, ainsi que la social-démocratie. Parmi ses membres le parti compte : Wilhelm von Rauchhaupt, Otto von Manteuffel, Ernst von Heydebrand und der Lasa, Kuno Graf von Westarp, Hans Hugo von Kleist-Retzow, Philipp von Nathusius-Ludom, Elard von Oldenburg-Januschau, Hans Graf von Kanitz, Heinrich von Salisch, Georg Oertel ou Wilhelm Joachim von Hammerstein. Les membres du parti conservateur prussien, qu'on désigne à partir de ce moment comme les « vieux conservateurs[2] » restent intransigeants, et traditionalistes[3] et refusent de suivre la voie « révolutionnaire » empruntée par le chancelier impérial. Principalement implanté en Prusse et en particulier dans ses provinces de l'est, c'est un parti très rural. Le parti conservateur allemand CDU élit ce samedi un nouveau président, un scrutin clé à huit mois du départ de la chancelière. Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liés à votre recherche. Ces faits expliquent la montée du parti populaire "deutschnationale Volkspartei" qui reprend dans la province l'essentiel de l'héritage du parti conservateur-nationaliste allemand (les Deutschkonservativen), mais qui commence aussi rapidement à absorber, en tant que parti protestataire évangélique-agricole, la clientèle du libéralisme "démocrate-juif", un libéralisme accablé de la responsabilité pour le "Weimarer … Dans la chambre des seigneurs de Prusse sa position dominante est encore plus marquée. À la chambre des représentants de Prusse, le constat est similaire, en 1913 le parti dispose de 143 mandats, dont 125 proviennent de l'est de l'Elbe[5]. L'apparition de la Fédération des agriculteurs en 1893 en réaction à la crise agricole a une grande influence sur le parti. Ce dernier, propriétaire terrien et député, devient président du nouveau parti. Le parti est surtout implanté à l'est de l'Elbe c'est-à-dire en Prusse-Orientale, Poméranie, Mecklembourg et dans la province de Saxe. Le programme du parti est convenu dans ses moindres détails avec Bismarck[4],[1]. Le Bund présente ses propres candidats aux élections, mais sans grand succès[10]. De très nombreux exemples de phrases traduites contenant "parti conservateur" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises. Il est constitué d'un « conglomérat d'hommes politiques reconnus indépendants » (Volker Stalmann) avec une structure très lâche. Par la suite, le parti est divisé entre les anciens propriétaires terriens constituant la base traditionnelle du parti et l'aile de Stoecker constistuée de bourgeois citadin aux influences plutôt chrétienne-sociale. À l'inverse dans les communes plus grandes de l'ouest du pays, les conservateurs sont organisés en association. Le journal du parti est le Neue Preußische Zeitung, plus couramment appelé Kreuzzeitung, littéralement le journal à la croix. Par la suite, à partir de 1877, un rapprochement politique a lieu, en particulier en matière douanière. Ainsi en 1887, le parti a 74 mandats au Reichstag, parmi eux 61 (soit 82 %) sont des circonscriptions prussiennes, parmi ces dernières 49 à l'est de l'Elbe. Le parti n'est pas dirigé par ses présidents, que par un organe collectif. Ils sont quasiment tous prussiens et Junker, d'ailleurs le parti conservateur prussien existe depuis 1848[1]. Parti composé principalement de Junker , il est partisan de la monarchie et s'oppose au parlementarisme. Cette tendance s'accentue avec le temps[12]. Du point de vue politique, il est placé entre le National-libéral d'une part et la Parti conservateur autres. Parti composé principalement de Junker, il est partisan de la monarchie et s'oppose au parlementarisme. Pour la politique douanière les conservateurs s'unissent avec les conservateurs libres, le Zentrum et une partie du parti national-libéral. Parti conservateur allemand. Wir bekämpfen den vielfach sich vordrängenden und zersetzenden jüdischen Einfluss auf unser Volksleben. La politique d'Otto von Bismarck et le conflit constitutionnel prussien scindent les conservateurs. Une partie de ces dernières, en Bade, Saxe et Bavière, sont liées ou ont fusionné avec les fédérations agricoles locales. Le parti est de plus en plus isolé. Le parti s'éloigne d'abord clairement de la politique du chancelier impérial et du parti conservateur le soutenant : les conservateurs libres. Par la suite, le parti est divisé entre les anciens propriétaires terriens constituant la base traditionnelle du parti et l'aile de Stoecker constistuée de bourgeois citadin aux influences plutôt chrétienne-sociale. En 1918, après sa disparition, la plupart de ses membres rejoignent le Deutschnationalen Volkspartei (DNVP). Leur objectif est de faire contrepoids aux libéraux dans la vie politique allemande. Cela lui donne une grande influence sur le Bundesrat, la chambre haute de l'Empire, sur le corps des officiers, l'administration et les affaires ecclésiastiques. Il doit se défendre bec et ongle contre les tentatives de réforme du système électoral des trois classes en Prusse que tente de présenter le chancelier Theobald von Bethmann Hollweg[10]. Un effet secondaire de ce rapprochement est que le parti perd de l'influence dans les villes. Le parti conservateur vote en 1898 et en 1899 de manière affirmée pour la construction de la flotte impériale et le renforcement de l'armée. Au parlement prussien, en 1882 ils obtiennent 28,2 % des sièges, en 1913 33,4 %. Le parti a des opinions en partie antisémites, ainsi lors de la campagne électorale pour les élections législatives de 1881 des propos antisémites sont utilisés en nombre[6]. Ils défendent particulièrement les intérêts agricoles[4],[1]. Le choix de la continuité avec l’ère centriste d’Angela Merkel : le parti conservateur allemand CDU a élu ce samedi comme président le modéré Armin Laschet face au libéral Friedrich Merz, favorable à un coup de barre à droite. La chancelière allemande âgée de 64 ans a renoncé en octobre à briguer à nouveau la présidence du parti après le revers électoral subi en Hesse, mais souhaite achever un quatrième et dernier mandat à la tête du gouvernement, qui s'achèvera théoriquement en octobre 2021. Le Parti conservateur allemand (en allemand : Deutschkonservative Partei) est un parti politique de l'Empire allemand fondé en 1876 et qui disparaît à la fin de la Première Guerre mondiale. Stoecker quitte finalement le parti en 1896 à cause de ses divergences de point de vue pour former le parti chrétien-social. Il s'agit tout d'abord du directoire du parti, puis à partir de 1889, un comité constitué de 11 députés au parlement de Prusse, de Saxe et au Reichstag. Cherchez des exemples de traductions Parti populaire conservateur dans des phrases, écoutez à la … Ils sont quasiment tous prussiens et Junker, d'ailleurs le parti conservateur prussien existe depuis 1848[1]. Le parti national-libéral nait en 1866 de la scission du parti progressiste allemand, dont il correspondait à l'aile conservatrice. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le journal du parti est Die Post, qui sert aussi de journal officiel pour le gouvernement de Bismarck. En 1909, le parti participe à la chute du gouvernement von Bülow[10]. Si la fédération ne permet pas au parti de gagner des mandats, elle lui fait s'étendre sa zone d'influence dans le sud et l'ouest. À l'inverse dans les communes plus grandes de l'ouest du pays, les conservateurs sont organisés en association. En 1918, la plupart de ses membres rejoignent le Deutschnationalen Volkspartei (DNVP). Des assemblées générales du parti ont lieu en 1876, en 1892 puis à partir de 1912 régulièrement[4]. Le découpage électoral les avantages cependant et la perte en électeur ne se traduit pas par des pertes en nombre de mandats[12]. Au parlement prussien, en 1882 ils obtiennent 28,2 % des sièges, en 1913 33,4 %. En 1872 et 1873, il y a déjà un groupe parlementaire conservateur à la chambre des représentants de Prusse[1]. Helmuth von Moltke, Graf Konrad von Kleist-Schmenzin, Otto von Helldorff, Karl Gustav Ackermann. Le Parti conservateur libre (Freikonservative Partei ou FKP) était un parti politique de l'Empire allemand dont les membres étaient originaires principalement de Prusse et en particulier de Silésie. Il succède au parti conservateur prussien, qu'on dénomme les « anciens conservateurs[2] », mais à la différence du premier se développe hors du royaume prussien. Principalement implanté en Prusse et en particulier dans ses provinces de l'est, c'est un parti très rural. La fondation du parti est un succès et la plupart des conservateurs le rejoignent[1]. Suggestions: parti conservateur gouvernement conservateur. Le parti est surtout rural, ainsi en 1898 68 % de leurs électeurs viennent de communes de moins de 2 000 habitants.